Eh dis donc, dans mon bloug, ça ne parle que de musique en ce moment, ben ouais parce que ma comparse toulousaine m'a emprunté mon appareil photo, et puis il fait trop chaud pour aller au cinoche... Du coup, plus de photos de là où je fiche mes pattes... J'en ai donc profité pour trifouiller dans ma discothèque, j'ai retrouvé Big city secret de Joseph Arthur, et c'est vraiment un superbe album !
Je me souviens, c'était au lycée, en seconde, une amie m'avait dit à la cantine: "Aaaah j'ai vu un chanteur à la télé hier, il joue de la guitare aussi, je suis sûre que ça va te plaire!" Et en effet, il s'agissait de la chanson Daddy's on prozac, super folk d'une force incroyable avec un côté réellement sombre, tout comme l'album dans son ensemble. Tiens écoute aussi Mercedes, (la version est un peu différente vue qu'elle est en live) morceau à la structure très riche, tsé c'est pas juste couplet-refrain... L'harmonica renforce le côté folk de la chanson en plus. Et puis il y a aussi in the sun que j'ai découvert tout dernièrement et qui me touche particulièrement...
Sinon la pochette de l'album présente des peintures de Joseph Arthur, on aime ou on aime pas, moi je trouve ça très très spécial... L'artiste expose aussi ses toiles pendant ses concerts...
Pour l'aspect un peu plus technique musicalement, Joseph Arthur est l'un des premiers utilisateurs de l'oversampling, tu sais ces trucs de psychopathe que tu peux faire avec une pédale: tu enregistres une ligne d'accords ou de chant et tu la repasses, pendant ce temps tu as toute la liberté d'en chanter une autre, ou de taper un ptit solo! Un exemple là. Il y a aussi Kt Tunstall et Anais qui sont adeptes de l'oversampling...
3 commentaires:
Les derniers en date à utiliser ce procédé, est le groupe Wriggles.
Je les ai vus 2 fois en concert et l'ont utilisés pendant ces shows ^^
excellent!!!
:)
François
excellent!!!
:)
François
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