Chez Anne Carrière,
en 2006,
320 pages.
en 2006,
320 pages.
Dans ce livre autobiographique, Vartan Berberian, écrivain et inventeur, nous raconte ses origines, comment ses parents sont arrivés en France, la manière dont ils ont vécu le génocide arménien, il y a même une annexe historique sur cet évènement tragique! Or ce livre n'est pas seulement un travail de mémoire mais aussi une belle leçon d'obtimisme. Un passage m'a particulièrement touchée:
Il était une fois un vieil homme et son fils. Ervant et Vartan étaient leurs prénoms. Vartan, dynamique et pressé, avait l’impatience au cœur. IL voulait au plus tôt les fruits de ses décisions, et goûter sans tarder ceux de ses arbres. Ervant avait appris de son père et de son grand-père que les plus beaux fruits sont ceux de la passion et de la patience. Ses épreuves – hors-la-loi dans les montagnes d’Anatolie… toute sa famille massacrée… condamné à mort dans les prisons turques… exilé loin de sa patrie… - l’avaient conforté dans cette idée/ la vie ne donne rien si on ne lui donne pas, d’abord, sa confiance, et le temps.
Il était une fois un vieil homme et son fils. Ervant et Vartan étaient leurs prénoms. Vartan, dynamique et pressé, avait l’impatience au cœur. IL voulait au plus tôt les fruits de ses décisions, et goûter sans tarder ceux de ses arbres. Ervant avait appris de son père et de son grand-père que les plus beaux fruits sont ceux de la passion et de la patience. Ses épreuves – hors-la-loi dans les montagnes d’Anatolie… toute sa famille massacrée… condamné à mort dans les prisons turques… exilé loin de sa patrie… - l’avaient conforté dans cette idée/ la vie ne donne rien si on ne lui donne pas, d’abord, sa confiance, et le temps.
1 commentaire:
Mmm, je sens bien que ça va me plaire, ça ! Je le commande de ce pas !
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